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SIGGEN Michel

1) Principaux repères biographiques

 

Né en 1963, docteur en philosophie de l’Université de Genève, ingénieur physicien de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Michel Siggen enseigne la philosophie au Lycée-Collège des Creusets à Sion (Suisse), ainsi que la philosophie des sciences aux Facultés Libres de Philosophie et de Psychologie de Paris (IPC).

 

2) Publications

a) Livres :

  1. L’expérience chez Aristote, Berne : Peter Lang, 2005.
  2. La méthode expérimentale selon Aristote, Paris : Les Presses universitaires de l’IPC, L’Harmattan, 2006. Ces deux premiers livres constituent l’édition du contenu de ma thèse de Doctorat sur une interprétation réaliste et thomiste de la notion aristotélicienne d’expérience. Contrairement à ce qui se fait aujourd’hui, cette étude de la pensée d’Aristote n’a pas écarté les commentaires pertinents de Thomas d’Aquin.
  3. La Sagesse de la loi, Saint-Maurice (Suisse) : Editions Saint-Augustin, 2007. Ce petit livre de vulgarisation a pour but de montrer le rôle social de la loi, qui n’est pas de satisfaire tous les désirs momentanés de la majorité, mais d’orienter la vie sociale vers un bien-vivre social et donc vers plus de sagesse.
  4. La Science a-t-elle réponse à tout ?, Paris : Edifa, Mame, 2007. Ce livre constitue une introduction à la méthodologie de la science moderne, à sa valeur et à ses limites.

 

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b) Articles :

1) « Culture et respect des méthodes chez Aristote », p. 65-79 dans Ethique et épistémologie autour du livre « Impostures intellectuelles » de Sokal et Bricmont / sous la direction d’Angèle Kremer Marietti, Paris : L’Harmattan, 2001.

2) « L’Expérience chez Aristote ou l’intelligence des singuliers », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 63, 2002, p. 27-58.

3) « La Phantasia logistikê chez Aristote, A la frontière du sens et de l’intellect », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 64, 2003, p. 51-81.

4) « Connaître, apprendre et comprendre : L’enseignement et l’apprentissage dans le sillage d’Aristote et de saint Thomas », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 67, janvier 2007, p. 21-57.

5) « La Nature dialectique de la physique moderne », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 69, janvier 2008, p. 29-61.

6) « La Platonisme scientifique de Jean Staune », Nova et Vetera, 83e année, juillet, août, septembre 2008, p. 295-318.

7) « Science et vision de l’homme », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 70/71, juin 2008/janvier 2009, p. 51-62.

8) « Science et technique : le réel caché ? », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 72/73, janvier 2010, p. 45-60.

9) « L’Univers sans Dieu de Stephen Hawking », Nova et Vetera, 86e année, octobre, novembre, décembre 2011, p. 485-495.

10) « La Place des causes finales dans la philosophie de la nature selon Robert Boyle », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 75, janvier 2012, p. 53-100.

11) « Le Rejet de la notion de Nature chez Robert Boyle : première partie », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 77, 2013, p. 59-100.

12) « Le Rejet de la notion de Nature chez Robert Boyle : deuxième partie », Cahiers de l’IPC : Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 78, 2013 ou 2014, p. 51-105.

13) « L’Expérimentalisme de Robert Boyle », Première partie, Nova et Vetera, 88e année, 2013, n° 4, p. 442-466.

14) « L’Expérimentalisme de Robert Boyle », Deuxième partie, Nova et Vetera, 89e année, 2014, n° 1, p. 87-113.

15) « Robert Boyle et le démon des formes substantielles », Première partie, Cahiers de l’IPC, Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 80, juin 2014, p. 81-139.

16) « Robert Boyle et le démon des formes substantielles », Deuxième partie, Cahiers de l’IPC, Faculté Libre de Philosophie (Paris), n° 81, janvier 2015, à paraître.

 

Ces derniers articles portant sur Robert Boyle entrent dans une étude plus large qui désire comparer la perspective de la science moderne avec celle de la philosophie de la nature d’Aristote. Il s’agit alors de préciser en quoi l’expérimentation scientifique sollicite une méthode bien différente de celle de l’empeiria aristotélicienne mais ne la remplace pas complètement.

 

 

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