2013
Assemblée générale du 5 juillet 2013
Étaient présents : Michel Boyancé, Marc Balmès, Carol Bitonti, Bernard de Castera, Thibaud Collin, Michel Collin, Jean-Baptiste Echivard, Bernadette Habrard, frère Damien Hanotte, Michel Mahé, Eric Trélut.
Avaient envoyé leurs pouvoirs : Michel Bastit, Jean-Michel Beigbeder, Emmanuel Brochier, Frédéric Crouslé, Guillemette de Chefdebien, Antoine Gué, Olivier Henri-Rousseau, Pierre Magnard, Michel Nodé-Langlois, Bernard Rousseau, Bertrand Souchard.
- Rapport financier de Marc Balmès.
Solde au 30 06 2012 : Compte courant : 548, 12
Livret A : 634, 65
Total : 1182, 77
Intérêts netsdu livret A : 15, 47
Total du compte courant : 728, 12
Dépenses (frais postal) :135, 92
Don de l’IPC sur le livret A : 1000
TOTAL : 2242, 32
- Rapport d’activités
- Les ‘rencontres de saint Julien’ se poursuivent, permettant, dans un climat détendu et fraternel, des échanges fructueux. Les interventions de la session de 2012 sur La création donneront lieu à un numéro spécial de la revue de l’Institut catholique de Toulouse Les recherches philosophiques. Ceux de cette année sur Le bien commun feront sans doute l’objet d’un numéro spécial dans les Cahiers de l’IPC. Il a été décidé de poursuivre pour l’an prochain en 2014 le même sujet que celui de cette année sur Le bien commun. L’accent pourrait être mis sur des questions méthodologiques relatives à la distinction entre les sciences sociales et la philosophie politique, mais également une réflexion approfondie sur le ‘gender’ serait la bienvenue. Des noms comme ceux de Vincent Aubin, Henri Hude, Pascal Ide ont été avancés pour se joindre à nos travaux. Michel Collin se charge de joindre Vincent Aubin, et J. B. Echivard Henri Hude et Pascal Ide. À ce propos, Henri Hude manifeste un très grand intérêt pour la finalité et les travaux de la SIPR.
- Les ‘rendez-vous de la SIPR’ dont l’intention est de présenter, pour les faire connaître, les publications des membres de la société ont donné lieu à deux réunions à Paris dans les locaux de l’IPC. L’une, sous la responsabilité d’Emmanuel Brochier et de Michel Bastit la philosophie de la nature peut-elle encore être une sagesse ? avec Benoît Gilliot, Eric Trelut, Hervé Barreau et Bertrand Souchard ; l’autre le 16 mai sur le livre de Michel Bastit La substance, avec Roger Pouivet. Le nombre des participants à ces réunions soulignent l’intérêt qu’elles représentent. Fort de l’expérience, on privilégie pour elles la présentation d’un livre avec unou deux ‘lecteurs’ critiques qui le présentent et commencent un dialogue avec l’auteur ; celui-ci intervient suscitant ainsi comme des ‘questions disputées’.
- Sont prévus d’autres ‘rendez-vous de la SIPR’ autour, par exemple, des livres de Henri Hude.
- L’antenne toulousaine pourrait voir le jour dans le courant de cette prochaine année universitaire, de même qu’une antenne lyonnaise.
- Nous avons évoqué aussi la santé de Michel Nodé-Langlois et de Pierre Magnard qui, cette année, n’ont pu se rendre disponibles. Ils avaient tous les deux envoyé un mot pour bien signifier leurs regrets de ne pas être présents et leur attachement à notre travail commun. Nous leur avons exprimé toute notre amitié.
- Nous ferons un appel de cotisations car, sans cette cause matérielle financière (la cause matérielle est, rappelons-le, pleinement une cause sans laquelle nous ne pourrions exister et durer…), nous ne pourrons assumer ce que nous entreprenons.
- Nous avons évoqué aussi l’importance du site internet de la ‘société’, aussi bien pour les contacts que pour les ‘mises en ligne’ de nos diverses interventions, travaux, etc. Emmanuel Brochier se charge du suivi de celui-ci.
- Carol Bitonti nous fait part d’une idée fort intéressante. Il s’agirait d’organiser chaque année un concours de philosophie réaliste, un peu comme les concours organisés autrefois par les Académies (comme celle de Dijon pour J. J. Rousseau). Ce concours serait proposé aux étudiants en master. Le sujet serait choisi par des membres de la SIPR et il y aurait un prix. Même si l’idée est séduisante, sa réalisation n’est pour le moment guère possible, avons-nous estimé après une discussion. Peut-être faut-il attendre encore que notre ‘société’ grandisse et se développe.
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